Aujourd'hui était un jour que je dédiais entièrement à moi. J'avais laissé les affaires de la cité en suspens et m'étais rendu aux thermes pour me détendre et y retrouver quelqu'un. Une personne très charmante, à la compagnie très agréable. Une femme superbe au charme naturel et au corps de rêve. une corps parfait, aux formes généreuses, galbées et sublimes. Rien que de penser à elle j'en avais des frissons. Lenna. La championne d'Hadès. Ma protégée. Nous nous connaissons depuis un moment. Et pour elle, j'étais toujours là pour veiller sur sa sécurité, même si je devais le faire dans l'ombre. Et j'étais toujours là quand elle avait besoin d'aide et que les choses tournaient mal. Je me rappellerais toujours de cette soirée....Le soir où Lenna s'était faite agresser mortellement par Cronos tandis qu'elle trainait dans les bas quartiers d'Elefteri. Quand j'étais arrivé sous la forme humanoïde de mon alter-ego dragon, trop tard malheureusement, elle baignait dans son sang et agonisait dans un coin. Je vis le couteau dégoulinant de sang de Cronos et poussa un rugissement à glacer les sangs tandis que je lançais à Cronos un regard plein de haine primitive. Il prit la fuite, heureusement pour lui, avant même que je ne passe à l'attaque. Je l'avais emporté dans un coin plus tranquille où je pourrais la soigner sans risquer d'être dérangé. Elle était en train de mourir mais j'y mis toute ma puissance pour qu'elle puisse être soignée après être repassé sous forme humaine. Maintenant elle connaît son secret et n'a jamais rien dit à qui que ce soit. Depuis on ne se sépare quasiment plus et je veille toujours sur elle.

Je me retrouvais dans un de ses saunas importé de Scandinavie. Il faisait chaud ici et mon corps presque nu, sauf une serviette à la taille, transpirait à petites gouttes. Je ne bougeais pas, restait ici et fermait les yeux. Le silence me reposait et me détendit. J'étais absolument seul, jusqu'a ce que j'entendis la porte s'ouvrir et j'ouvris les yeux, tournant ma tête dans la direction de la porte. La jeune femme aux cheveux noirs comme la nuit était là et se tenait sur le pas de la porte, magnifique. D'un coup de tête, je l'invitais à rentrer.